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Melochronobiographie – 1984

Retour à une rubrique super chaude de la mort qui tue. Je vous avais parlé (rapidement) de l’année 1983 il y a un moment. Maintenant, penchons nous sur l’année suivante. 1984 débute quelques jours après ma naissance. Autant dire que là non plus, je ne m’en rappelle pas du tout. Pourtant, un tas de trucs (plus ou moins pourris) sortis cette année là m’ont finalement influencés musicalement. Dans un contexte musical qui dayboate (new wave powa), il fallait avoir le courage de vivre à cette époque. Néanmoins tout n’est pas perdu, car 1984 voit la naissance du rap hardcore avec le premier album de Run DMC. Notez que ce morceau est le premier a utiliser un sample de métal (Black Sabbath en l’occurrence). Sont sortis aussi cette année là  : un faux-hymne aux USA, une ballade ultra connue de Scorpions, de la new wave pourrave (désolé pour les fans de Depeche Mode), du métal graou graou (merci Iron Maiden), les tubes de Cindy Lauper (ici et ici), une histoire de vierge qui ne l’est plus trop (Madonna), un tube de Prince, une ma-gni-fi-que chanson des Pretenders, des classiques de Queen, le premier album des Red Hot Chili Pepper, du REM, du punk bien lourd de chez les Ramones, encore un tube de U2, du The Cure tout craché, du Van Halen et du Yes. Mais aussi : Chicago, Stevie Wonder, Phil Collins (c’est malin maintenant je vois des gorilles et des seins partout), Siouxie And The Banshees, Gainsbourg (pas du tout le meilleur mais bon), l’album Africa de Ijahman Levi (dédicace à Stefan au passage), le premier tube des Rita Mitsouko, une chanson 1000 fois reprise de Bryan Adams, un p’tit peu de Tina Turner, deux classiques du rock français (Téléphone), et l’un des morceaux les plus internationalement connu. Pour finir la partie qui le vaut bien, je terminerai avec l’une des seules chansons de Céline Dion qui ne me fait pas vomir (ce qui est plutôt rare n’est ce pas ?).

Sinon, avec tout ça, on a eu le droit de saigner des oreilles avec Peter et Sloane, Cookie Dingler, JJ Goldman, Laura Branigan, Jeanne Mas (oulala) et Bon Jovi. Bah ouais je vous avais prévenu.

Musicalement parlant, nous perdions aussi cette année là le plus chaud de tous les chauds du boudin : Marvin Gaye. Hommage avec 5 de ces hits : un, deux, trois, quatre, et cinq. Et puis j’oubliais, mais 1984 vit la mort de Count Basie, ansi que de Big Mama Thornton (chanson rendue célèbre par Elvis Prestley plus tard…). Enfin vous savez ce qu’on dit : « Une de perdue, dix de retrouvées ». Et bien sont nées en 1984 Ashlee Simpson, Avril Lavigne, Mandy Moore, Anneliese van der Pol, Katharine McPhee, Alizée, Lena Katina, Delta Goodrem, Katie Melua et Scarlett Johansson. Qualitativement, on y a un peu/beaucoup (rayez la mention inutile selon la vidéo regardée) perdu, mais visuellement parlant…héhé…

5 réponses sur « Melochronobiographie – 1984 »

C’est aussi l’arrivée de C+ et de ses clips musicaux (encore traumatisée par le clip Libertine de M.Farmer, le premier truc que je me souviens avoir vu à la télé l’horreur)

A ta liste de "pouffiasses" nées cette année là tu peux m’ajouter moi xD

Oui je voulais mais j’ai mis que des pouffiasses qui chantent. Ce billet t’étais dédicacé d’ailleurs mais j’ai oublié de le préciser (trop long le billet…). Mais je pense que tu t’en doutais ^^…

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